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L'histoire de l'école

Toutes les dates qui retracent la vie de l'école.

1784 - A la demande du Cardinal Loménie de Brienne, trois sœurs de la compagnie des Filles de la Charité s’installent dans une maison de la rue Achille Viadieu (alors rue des Récollets) qu’il met à leur disposition pour s’occuper du « bouillon des Pauvres ».

 

1837 - Grâce au don d’une maison mitoyenne, a lieu l’ouverture d’une école pour « recevoir et instruire » des petites filles de 3 à 7 ans.

 

1847 - La maison – comme toutes celles de Toulouse – est cédée au bureau de bienfaisance qui vient de s’organiser pour secourir les Pauvres. À cette époque, les Sœurs sont douze ou treize et assurent la visite des malades, le fonctionnement d’un ouvroir (externe et interne), l’accueil des orphelines, la distribution de repas et de remèdes (ordonnés par le médecin du bureau) puisqu’elles ont maintenant une pharmacie.

 

1900 - En prévision de l’orage menaçant les communautés religieuses, achat rue Saint-Michel, d’un grand immeuble exproprié.

 

1902 - Injonction préfectorale de quitter dans un délai de dix à douze jours l’établissement de la rue des Récollets. L’école va donc s’installer rue Saint-Michel (l’actuel 48) et les Sœurs sont accueillies provisoirement dans la famille de l’une d’entre elles, allées Jules Guesde, avant de s’installer au 4 rue du Sachet. Elles continuent le service des Pauvres et les Œuvres Paroissiales.

 

1920 - Vers cette époque, le curé de la Paroisse supplie les Sœurs de reprendre la responsabilité de l’école
(assurée depuis l'injonction préfectorale par des laïcs). Les Sœurs viennent donc habiter 48 rue Saint-Michel tout en continuant les activités précédentes (visites des Pauvres et des malades, catéchismes, patronage, Enfants de Marie…).

 

1929 - Un petit garçon de l’école enfantine, Jean Ribet, est subitement guéri d’un mal de Pott, au terme d’une neuvaine à Sainte Catherine Labouré (miracle retenu pour la cause de béatification).

 

1947 - Reprise de la direction légale et officielle par les sœurs de l’école. L'école devient trop petite. La Communauté laisse ses locaux et émigre rue des Bûchers où le bureau de bienfaisance demande une Sœur pour la maison de retraite. Les autres Sœurs continuent leurs mêmes activités (pauvres, paroisses).

1961 -  Il faut s’agrandir encore… Construction du 50 sur quatre étages. L’école signe un contrat simple avec l’État.

 

1967 - Le jardin d’enfants, par un avenant au contrat, devient classes enfantines de l’école.

 

1981 L'école signe un contrat d'association avec l'Etat.

 

11993 - Ouverture d’une CLIS à l'école.

1995 - la Direction est confiée à une laïque, Suzanne MARGUERIT.

2000 - La direction est confiée à Frédéric LETORT.

 

2001 - Drame de l’usine AZF. Les portes de l’école sont soufflées par l’explosion. Aucun blessé. Des logements de familles sinistrés.

 

2007 - La communauté religieuse quitte les bâtiments. La parcelle est vendue à un promoteur. Engagement est pris, après une longue bataille, de reconstruire une école en rez-de-chaussée. La tutelle avait choisi dans un premier temps de faire disparaître l’école.

 

2009 - L’école est délocalisée durant deux années au 4 rue du Sachet ; le temps de la démolition et de la reconstruction. Déménagement assuré par les enseignants et les parents.

 

2011 - Ouverture des nouveaux locaux en septembre. Inauguration par l’Archevêque de Toulouse, Monseigneur LE GALL.

 

2012 - Agrandissement du self et ouverture d’une classe.

 

2015 - Modification des cloisons de classes pour agrandir.

 

2020 - Confinement COVID. 23 mai décès de notre collègue ATSEM, Isabelle DEDIEU présente depuis plus de 25 ans à l'école.

2023 - Achat du local commercial mitoyen par la tutelle. Ce local est inclus dans la parcelle du rez-de-chaussée.

 

2024 - L’OGEC lance un grand chantier : Transformation du local commercial en self. Redistribution des 3 premières salles du couloir N°1 en 2 classes de maternelle. Transformation du réfectoire en 2 salles de classe (CM1 et CM2). La partie préparation du self et la partie plonge deviennent la salle de l’ALAE. Tous ces travaux sont réalisés en 6 semaines. Le déménagement provisoire et la réinstallation sont assurés par les enseignants et les parents.

 

2024 - Jeux olympiques de Paris. Partenariat avec les Dauphins du TOEC. Les nageurs de l’équipe de France sont accueillis à l’école lors d’une petite cérémonie.

 

2024 - Ouverture d’une classe en maternelle.

 

2025 - Retraite de M. LETORT, M. Emmanuel ZOBLER, enseignant au sein de l’école prend sa suite. L'école compte 8 classes. 1 dispositif ULIS et 1 CLAE.

Historique de la Maison Saint-Exupère à Toulouse, et de son école.

La maison fut fondée dans le quartier de Saint Michel en 1784. A cette date, trois sœurs furent appelées par le Cardinal Loménie de Brienne qui mit à leur disposition la maison de campagne de sa famille. Cette maison, située au n°43 de la rue des Récollets (actuellement rue Achille Viadieu) et qui porte encore sur les murs les armes du Cardinal, était destinée à l’œuvre appelée « Le bouillon des Pauvres ». C’est tout ce que les archives livrent pour ce début.

 

Un testament de Sœur Welchmans – sans date – donne à la maison Saint Michel la maison sise 41 rue des Récollets et acquise par la Sœur en 1837. Ce testament stipule que ladite maison devra être employée à recevoir des petites filles de 3 à 7 ans pour les instruire et les faire passer ensuite dans les autres classes de l’école. Ce qui prouve qu’à cette date-là, l’école primaire était fondée et le don de la Sœur avait pour but d’instituer ce que nous appelons aujourd’hui une école maternelle. Les deux maisons réunies constituaient un vaste bâtiment avec grand jardin et terrain s’étendant jusqu’à la Garonne. En 1847, la maison comme toutes celles de Toulouse, fut cédée au Bureau de Bienfaisance qui venait de s’organiser pour secourir les Pauvres.

 

Les Sœurs avaient des classes très prospères, la visite des malades, un ouvroir externe et un ouvroir interne pour les orphelines. C’est dans cette maison que Sœur Duffes, Sœur Servante de Sœur Catherine Labouré, vint se réfugier durant la Commune. Le nombre des Sœurs était passé à douze ou treize. Elles distribuaient tous les jours aux Pauvres le bouillon, la viande et les remèdes nécessaires ordonnés par le médecin du bureau. Elles avaient aussi une pharmacie.

 

Le 26 juillet 1900, eut lieu l’expropriation forcée d’un immeuble appartenant à Madame Quétineau. Sentant venir l’orage qui se préparait en France contre les Communautés religieuses et ayant déjà eu quelques avertissements, la Supérieure de la maison de Charité Saint Michel en fit l’acquisition. D’après l’acte de vente, il s’agit d’un grand immeuble sis 22 rue Saint Michel appelé « Salon des Familles » comprenant maison d’habitation, deux dépendances avec cour et jardin contigües, le tout aménagé pour établissement de soirée et repos avec grand salon, salle de café, salon intime et autres dépendances.

 

La dite maison est construite en briques cuites et matériaux crêpée de mortier, de chaux et de sable, recouverte en lattes, feuilles et tuile canal. Au devant de la façade, il existe un petit mur surmonté d’une grille en fer et percé d’une ouverture muni de sa fermeture en fer à deux battants. Entre la dite façade et le mur, existe un petit parterre planté de quelques arbustes.


Une lettre du ministère des cultes datée du 17 juillet 1902 et signée « Combes ». Cette lettre fait note d’une injonction préfectorale de fermer les établissements des Filles de la Charité. La lettre donne un délai de dix à vingt jours pour vider les lieux.

Une requête du 12 septembre 1903 faite par les descendants de la famille de Loménie de Brienne et une autre de même date, faite par les successeurs de la famille de Sœur Welchmans, adressées au Tribunal Civil de Toulouse.

Ces requêtes sont faites dans le but d’empêcher la spoliation des bâtiments (41 et 43 rue des Récollets). Les héritiers des donateurs s’efforcent de démontrer que les intentions de ces derniers n’étant plus respectées, les bâtiments doivent revenir à leurs familles.

Des lettres tendent à prouver que cette démarche est aussi faite pour essayer de conserver un domicile aux Sœurs tandis que l’école était installée au 22 de la rue Saint Michel (le 48 actuel) acquis depuis 3 ans par Sœur Mathieu. Les requêtes repoussées par un jugement daté du 17 septembre 1903, les Sœurs durent quitter la maison qui fut remise à la ville de Toulouse pour l’établissement d’une école publique : l’école Calas. Les Sœurs furent accueillies par Madame de Blay, sœur de Sœur d’Albis, dans un local situé 27 allées Saint Michel (aujourd’hui, allées Jules Guesdes), de là elles déménagèrent bientôt pour aller habiter rue du Sachet, dans l’appartement du directeur de l’école de garçons.

L’école des filles continuait donc rue Saint Michel, sous une direction laïque, tandis que les Sœurs, allées Saint Michel, puis rue du Sachet, se donnaient au Service des Pauvres et aux œuvres de la paroisse.

 

Pendant la guerre de 1914, une ambulance est instituée à Toulouse et la Visitatrice, Sœur Planet, y envoie, à tour de rôle, une Sœur de chaque maison, ce qui permet de ne pas désorganiser les maisons de Toulouse et de continuer les œuvres. Cette ambulance était située rue du Taur, là où se trouve actuellement l’établissement des Sœurs de Nevers.

 

Vers 1920, Monsieur l’Abbé Dupin, curé de Saint Exupère, vint supplier les Sœurs de prendre la direction de l’école, les premières maîtresses ayant été remplacées par un personnel de fortune. C’est ce qui provoqua le déménagement des Sœurs rue Saint Michel dans la partie non occupée de l’école. Les œuvres continuent de se développer : visite des Pauvres et des malades, catéchisme, patronages, enfants de Marie, auxquelles s’ajoute la Direction non officielle de l’école.

 

En 1927, Monsieur l’Abbé Mercadier, curé de la paroisse Sainte Germaine, voisine de la paroisse Saint Michel et qui depuis 20 ans demandait une Fille de la Charité de la rue du Bac, vint trouver la Sœur Servante de la maison, Sœur Rolland pour qu’elle appuie cette demande. Cette dernière lui promis son aide. Il y avait alors à la rue du Bac, une postulante d’âge avancé (46 ans) dont elle en connaissait le zèle et la ferveur. Il lui sembla qu’elle était toute destinée pour ce travail, vu ce qu’elle avait fait dans sa vie. Elle demanda son arrivée à la communauté et sa demande fut agréée… Sœur Algrin, après sa prise d’habit, en mai 1928, arrivait à la maison de charité rue Saint Michel, pour être au service de la paroisse Sainte Germaine.

 

L’œuvre des « Louise de Marillac » fut organisée à Saint Michel en 1929, la même année fut créée l’amicale des anciennes élèves.

 

En cette même année 1929, la maison fut favorisée d’une grande grâce : un petit garçon de l’école enfantine, Jean Ribet, atteint du mal de Pott, fut subitement guéri, au terme d’une neuvaine à Saine Catherine Labouré. Le médecin traitant, le radiologue et celui qui avait plâtré l’enfant furent unanimes à reconnaître le miracle. En 1930 le tribunal ecclésiastique entreprenait une enquête. Le miracle fut reconnu pour la cause de béatification de Catherine Labouré.

En 1933, l’enfant accompagné de la Sœur Servante de la maison se rendait à Rome pour la béatification de Catherine Labouré.

 

En 1939, la guerre amena beaucoup de réfugiés à la Maison Saint Michel. Toutes les salles du patronage et toutes les classes furent occupés par les Belges. Les Sœurs firent le tour de la paroisse pour récolter matelas… couvertures… tout cela pendant les vacances scolaires. A la rentrée des classes tout fut archicomble. La cantine scolaire avait lieu dans la garderie et le couloir des classes. A l’entrée du couloir, après la sortie des élèves : distribution de légumes cuits, appelée « centre de réconfort ».

 

En 1940, le droit d’enseigner ayant été rendu aux religieuses, une Sœur prend alors la responsabilité d’une classe.

 

Au début de 1944, devant la recrudescence d’attentats dirigés contre l’occupant et les points stratégiques en sa possession, un arrêté préfectoral ordonne la fermeture de l’école, considérée comme située en zone dangereuse à cause de la proximité de la poudrerie. Pendant quelques semaines les filles iront à l’école l’après-midi, 4 rue du Sachet, tandis que leurs frères occuperont les lieux le matin. Cependant après le bombardement de Montaudran, les parents qui n’avaient pu, par leurs propres moyens, envoyer leurs enfants hors de la ville, supplièrent les Sœurs d’organiser une colonie scolaire de repliement. Le curé de Labastide Beauvoir ayant offert de recevoir des enfants Toulousains dans sa paroisse, deux Sœurs partirent avec une quarantaine d’enfants. Cette colonie dura de mai à octobre 1944. La libération étant survenue entre temps, les classes purent rouvrir normalement à la rentrée d’octobre.

 

En 1947, la directrice de l’école, Madame Hébrard, ayant pris sa retraite, ce fut une Sœur qui la remplaça. C’est à ce moment-là que la communauté reprit officiellement la direction de l’école.

Cependant la garderie de l’école devenait trop petite pour le nombre d’enfants et le service d’hygiène demandait un local réservé à la cantine. Grande perplexité pour en trouver les moyens. Sur ces entrefaites, le bureau de bienfaisance avait acheté un établissement appartenant aux Sœurs de la Sagesse où ces dernières entretenaient un orphelinat et soignaient quelques dames pensionnaires. Le bureau voulant transformer cet établissement en maison de retraite, demanda des Filles de la Charité pour remplacer les Sœurs de la Sagesse rappelées par leur communauté. La Visitatrice, Sœur Caman eut l’idée de demander à Monsieur Fronty, responsable des maisons de retraite du Bureau, de loger là, toutes les Filles de la Charité de Saint Michel, au nombre de 7, moyennant pension. Ce qui fut accepté. Le 1er Juillet 1949, la Sœur Servante déjà âgée fut déposée sur place. Dés le 3, sa remplaçante organisait le déménagement. Les locaux laissés libres par le départ des Sœurs furent aménagés en jardin d’enfants.

 

Le 18 décembre 1950, Sœur Vidal est nommée  Sœur Servante de la maison Saint Michel. Depuis plusieurs années, l’œuvre des colonies de vacances avait été instituée dans la maison. La nouvelle Sœur Servante se met en quête d’un local. Elle loue d’abord, à cet effet, une maison à Encausse-les-Thermes qu’elle achètera en 1956. C’est elle aussi qui instituera les camps d’adolescentes.

 

En 1953 sera bâti, par les parents eux-mêmes, le jardin d’enfants. Commencé le 19 juillet 1953, il fut inauguré en juin 1954.

En 1955, la Communauté s’organise en provinces. La maison provinciale est d’abord fixée à La Cadène. Bien vite on s’aperçoit des inconvénients de cette situation : la maison provinciale est éloignée de tout, elle est difficile d’accès, surtout à l’époque où le blocus du canal de Suez provoque des difficultés pour l’approvisionnement en essence. La communauté décide de transporter la maison provinciale au 48 rue Saint Michel. L’ancien bâtiment est complètement démoli et rebâti sur trois étages. Le 2 février 1958, les Sœurs s’y installent, 2 Sœurs restent à la maison de retraite de la rue des Bûchers avec une nouvelle Sœur Servante. C’est donc la séparation en 2 maisons distinctes, le nom Saint Michel restant à la maison de retraite, la maison provinciale prend le nom de la paroisse sur laquelle elle est bâtie et devient maison Saint Exupère.

 

En 1959, dans la maison installation d’un centre social. En 1961, le bâtiment étant devenu trop petit pour suffire aux besoins de la maison provinciale, on l’agrandit d’une autre construction au numéro 50 de la même rue.

 

En 1961 également, l’école signe un contrat simple avec l’état et en 1967, le jardin d’enfants, par un avenant au contrat devient classes enfantines de l’école.

 

En 1965, une nouvelle maison se crée dans un immeuble, rue du Férétra. La Sœur Servante de la maison provinciale et 3 de ses compagnes y partent pour s’occuper des paroisses Sainte Marie des Anges et Sainte Germaine. La maison provinciale conserve la charge de la paroisse Saint Exupère dont elle continue les œuvres.

 

En 1981, l’école signe un contrat d’association avec l’Etat.

Jusqu’en 1989, Sœur Elisabeth assure la Direction, avant de partir pour Marseille et d’être remplacée par Sœur Brigitte venue de Limoges. Son engagement et son audace sont bien connus et reconnus par les différentes instances. En 1993 elle ouvre une CLIS, la première de l’Enseignement catholique de Haute-Garonne. Ne ménageant pas sa peine, elle enseigne dans cette CLIS, s’occupe de la cantine, surveille l’étude, fait le ménage des classes et de l’école, balaie la cour, procède à mille petites réparations, gère la comptabilité, organise des séjours à la montagne pour les plus démunis.

 

En 1995 Sœur Brigitte est appelée à la Maison de Roques pour l’accueil des familles de prisonniers de la Centrale de Muret. Elle laisse la direction à une laïque, Suzanne MARGUERIT, qui enseignera en CLIS, jusqu’à libérer son poste en juin 2000.

 

Septembre 2000, Frédéric LETORT, enseignant de l’école, est sollicité pour assurer la suite.

2001, l’explosion d’AZF frappe plus de 70% des familles, endommageant les habitations. Ces élèves passent tout l’hiver avec du simple carton ou du plastique aux fenêtres.

 

Décembre 2006, après un Conseil, la Congrégation annonce le départ des sœurs de la Communauté ainsi que la vente de la parcelle, avec néanmoins la volonté de trouver une solution pour reconstruire une école.

 

La nature des travaux imposait la délocalisation des bâtiments durant deux années. Après de très longs mois de recherche, au bord de l’abandon et de la fermeture définitive, M. Robert LESPES, chef d’établissement du lycée professionnel des Potiers, propose d’accueillir les élèves et les enseignants. Son établissement est situé non loin, au 4 rue du Sachet, l’ancienne école des garçons St Exupère. Comment ne pas y voir un signe ?

 

Monsieur Gilbert PRADEL, architecte et membre de l’OGEC, assure la mise aux normes des travaux aux Potiers et l’occupation des salles. Parallèlement, c’est lui qui dessine la future école en collaboration avec le chef d’établissement.

Monsieur Claude BASTIANI, Président d’OGEC, suit l’avancée des travaux des deux chantiers. Tous les membres d’OGEC, la Tutelle, les personnels OGEC, les enseignants et les familles se mobilisent avec force pour maintenir le projet. Tout le monde participe au déménagement et un dernier au revoir est adressé à notre ancienne école en juin 2009. Pendant que la vie s’organise rue du Sachet et que les professeurs du lycée font une place à leurs collègues de Saint Exupère, les bâtiments de la Grande Rue Saint Michel sont rasés.

 

Deux années marquées par la communion de deux communautés éducatives ! Une expérience hors norme qui unit et soude des amitiés.

Le 16 juin 2011, les nouveaux bâtiments sont bénis par Monseigneur LEGALL, Archevêque de Toulouse et le Père Bernard MASSARINI, Lazariste à Marseille. La Congrégation, le Directeur diocésain, l’OGEC, l’APEL, les enseignants et les familles viennent célébrer cette immense réussite, fruit d’une réelle fraternité.

 

A nouveau, en juin 2011 ce sont les familles et les enseignants qui assurent le déménagement.

 

L’équipe est fortement marquée par cette expérience, se mobilise avec force et conviction pour maintenir le projet éducatif formalisé en 2017.

Ils sont récompensés par une augmentation massive des effectifs et une sincère reconnaissance des familles.

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